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  • Les océans, largement inexplorés, ont de tout temps été considérés comme un lieu de prédilection pour d’étranges créatures. Autrefois, certains navigateurs ont décrit des mers infestées de bêtes en tout genre - hérissées d’épines, affublées d’ailes ou de cornes, dotées de crocs acérés et de multiples tentacules. Quelques-unes d’entre elles, tel le calamar géant et le coelacanthe, sont passés du mythe à la réalité. D’autres, comme le serpent de mer, attendent encore d’être découvertes par la science.

    En effet, le calamar géant est bien une espèce reconnu par les zoologistes. Le plus grand calamar officiellement reconnu fut retrouvé sur la plage de Thimble Tickle à Terre-Neuve en 1878. Le spécimen possédait un corps long de 6,50 m, et un tentacule dépassait 10 m, soit une longueur totale de 16,5 m. Ses yeux mesuraitent environ 46 cm de diamètre. Il se pourrait bien qu’il ait des calamars bien plus énormes que celui de Thimble Tickle car on a retrouvé des traces de ventouses sur des baleines qui laissent supposer qu’il existerait des calamars avec des tentacules longues de 36 m. Le seul spécimen qui fut conservé a été repêché par le naturaliste DeWitt Webb sur la côte de la Floride en 1896 (photo à gauche). Croyant au départ qu’il s’agissait bien d’un calamar géant, il changea d’idée plus tard en affirmant qu’il s’agissait en fait que d’un reste de crâne de baleine. Plus récemment, des biologistes effectuaient des analyses pour en conclure qu’il s’agissait d’un calamar.

    Les serpents de mer ont depuis longtemps engendré fascination, terreur ou dérision. Malgré l’absence de preuves matérielles irréfutables, le seul poids des témoignages des témoins oculaires ont convaincu maints savants que les serpents de mer existent. Le premier témoin oculaire de l’époque moderne fut le missionnaire scandinave Hans Edge. Il raconta avoir observé un monstre marin en 1734, lors d’un périple au Groenland. Sa description est remarquable par sa grande précision. Mais ce fut au début du XIXième siècle qu’il y eut le plus d’observations de serpent de mer. Entre le 6 et le 23 août 1817, une centaine de témoins honorables virent un énorme monstre marin s’abattre dans le port de Gloucester, Massachusetts. Pour un temps, les savants faillir reconnaître qu’il existait bien.

    Aujourd’ hui, les chercheurs qui étudient le phénomène prétendent presque tous que ces animaux appartiennent à plusieurs types distincts. Ils ne pensent pas non plus que ces animaux soient réellement des reptiles. L’expression « serpent de mer » ne perdure qu’à cause de sa commodité et à la tradition. Certains spécialistes pensent qu’au moins quelques-uns des grands animaux marins non identifiés seraient des anguilles géantes. D’autres avancent l’idée que le serpent de mer serait peut-être un zeuglodon, ou baleine primitive, espèce supposée éteinte. Selon d’autres théories, le serpent de mer, du moins la variété au long cou, serait un plésiosaure survivant. Ce serait le cas de la carcasse trouvée puis rejetée par un chalutier japonais en 1977 (photographie à droite).


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    Une nouvelle théorie sur les lignes de Nazca. Extraits d'un texte d'Alan F. Alford

    Depuis que les lignes de Nazca ont été découvertes dans les années 30, plus d'une théorie a été proposée pour expliquer les traces sur la surface du désert. Un éminent scientifique en parle comme étant "une des énigmes les plus embarrassantes de l'archéologie".

    Pourquoi les lignes de Nazca représentent-elles un mystère si insoluble ? En fait, le problème se situe dans la grande variété des dessins (environ 300), généralement désignées sous le nom des "géoglyphes". On trouve sur le site aussi bien des dessins figuratifs, comme l'araignée, le singe, le héron, le colibri, etc., que des dessins totalement abstraits composés d'une grande diversité de forme là aussi : certains comportent jusqu'à 365 angles tandis que d'autres en spirale n'en contiennent aucun.

    Bien que les géoglyphes d'animaux attirent l'attention, ils sont en fait recouverts par d'énormes trapézoïdes. Certaines de ces figures ont des côtés de plus de 2.500 pieds de long !

    Quel pouvait être le but de toutes ces lignes et géoglyphes ? Vues dans leur ensemble, les lignes de Nazca semblent être un fouillis, dispersé apparemment au hasard sur la plaine, se croisant et créant des intersections sans raison apparente. Dans quelques endroits, des géoglyphes soigneusement dessinés ont été en partie effacés par les énormes trapézoïdes. En outre, il y a un grand contraste entre quelques schémas qui ont été parfaitement exécutés, et d'autres qui ont été dessinés sans soin. De plus, plusieurs dessins sont si grands qu'ils ne peuvent être visualisés que des airs à une hauteur de 1.000 pieds ! Qui était censé voir les figures de Nazca ?En 1969, Erich von Daniken a émis l'idée que des
    extraterrestres aéroportés pourraient avoir conçu ces lignes comme pistes d'atterrissage.

    Cependant, sa théorie se heurte à de nombreux problèmes. Premièrement, le sol ne serait pas assez dur pour soutenir des atterrissages répétés en raison du poids présumé de ces vaisseaux spatiaux. Deuxièmement, pourquoi ces extraterrestres n'auraient pas conçu quelque chose de beaucoup plus sophistiqué ? Troisièmement, beaucoup de ces lignes sont de seulement 3 pieds de large – ce qui semble être trop étroit pour des vaisseaux. De plus, Von Daniken n'a pas réussi à expliquer le sens et l'utilité des figures animales.

    La plus grande experte concernant les lignes de Nazca est assurément Maria Reiche, une mathématicienne allemande qui a consacré plus de cinquante ans de sa vie à l'étude et à la protection des Lignes. Maria Reiche s'est attachée à discréditer la thèse extraterrestre de Von Daniken. Sa théorie est basée sur le fait que ce sont les Indiens de Nazca qui auraient construit ces lignes récemment (probablement entre 300 av. J.-C. et 800 après J.-C.). Pour appuyer cette thèse, quelques scientifiques ont fait preuve d'ingéniosité pour démontrer comment ces figures ont pu être théoriquement tracées depuis le sol. Jusqu'ici, aucune des deux théories ne résiste à une analyse critique minutieuse.

    Le premier fragment de preuve repose sur une série de datation au carbone 14 effectué sur des fragments de poterie et de bois qui avaient été laissées sur les lignes par les habitants de Nazca. Les partisans de la seconde théorie prétendent que cela prouve que ce sont les habitants de Nazca qui ont construit les lignes. Cependant, la datation de ces fragments ne prouve qu'une chose, c'est que ces habitants vivaient aux alentours de ces lignes, étant donné que les lignes elles-mêmes ne peuvent être datées, l'éventualité que ces lignes étaient préexistantes à la civilisation nazcanienne subsiste.
    Le deuxième fragment de preuve est la troublante ressemblance qui existe entre les géoglyphes et certains dessins retrouvés sur des poteries à Nazca. C'est un élément important car cela prouve que les habitants de Nazca ont soit eux-mêmes dessinés les images ou les ont vus depuis le ciel.

    Des poteries de Nazca sont exposées au musée de la ville voisine d'Ica. Une poterie est supposée représenter un lézard, une autre représente l'araignée, puis un colibri et encore une autre, une baleine. Dans tous les cas les similitudes sont floues et certains point clés des géoglyphes sont différents ou manquants sur les poteries. Il existe cinq autres exemples de même nature. Dans leur

    acharnement à réfuter la théorie de Von Daniken, les experts semblent avoir oublié qu'il est tout à fait normal pour des artistes de cette époque de reproduire des figures d'oiseaux, d'insectes, de reptiles et des créatures marines. Les experts ne se sont pas demandés pourquoi ces poteries ne sont pas décorées avec les dessins les plus étranges, les trapézoïdes, les lignes entrecoupées et les formes abstraites.

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    Comment Maria Reiche explique-t-elle le but des lignes de Nazca ? Bien que Reiche admette ne pas avoir tiré une conclusion définitive, elle penche fortement vers la théorie d'un calendrier astronomique. Elle pense que les habitants de Nazca employaient les lignes et les figures pour mesurer les points clés de l'année solaire en vue d'une planification agricole. Cependant, la théorie de Reiche, comme celle de Von Daniken, n'a pas résisté aux arguments élevés contre celle-ci.

    En 1968, une étude menée par la Société Géographique Nationale a déterminé que certaines lignes de Nazca étaient dirigées vers des positions du soleil, de la lune et d'étoiles dans le ciel il y a deux mille ans, cela ne pouvant être dû à la seule chance. En 1973, Dr Gerald Hawkins a étudié 186 lignes avec un programme informatique et a constaté que seulement 20 pour cent d'entre elles n'ont eu aucune orientation astronomique. En 1982, Anthony Aveni a obtenu des résultats semblables, tandis qu'en 1980, Georg Petersen précisait que la théorie de Reiche n'a pas expliqué les différentes longueurs et largeurs des lignes. Plus récemment, Johan Reinhard a noté que les montagnes environnantes ont fourni un mécanisme prêt à l'emploi et beaucoup plus pertinent pour les Nazcas à utiliser comme calendrier solaire ; les lignes leur auraient ainsi été tout à fait superflues. En plus de cette avalanche d'opinions scientifiques, nous devrions également noter que Reiche, comme Von Daniken, n'a pas expliqué la signification des géoglyphes animaux.

    Comment pourrions-nous expliquer autrement les lignes de Nazca ? Il ne s'agit certainement pas de routes incas, pas plus que des canaux d'irrigation, puisque la plupart d'entre elles ne mènent pas à des sources d'eau. Toutes les explications pratiques possibles étant épuisées, beaucoup d'auteurs se sont penchés sur le symbolisme des lignes et des figures. Tous les cultes religieux ont été évoqués, culte ancestral, culte de l'eau, culte de la fertilité et culte de la montagne.

    Comment le culte des dieux de la montagne explique-t-il les lignes de Nazca ? Johan Reinhard a détaillé diverses traditions antiques, selon lesquelles les dieux de la montagne prennent la forme d'aigles ou de condors. Comme l'explique Reinhard, cette théorie cultuelle explique l'aspect le plus significatif des lignes de Nazca qui est que les figures ne peuvent être vues que par les airs.

    Les anthropologues attribuent la croyance dans

    les dieux de la montagne à une base écologique solide, puisque les montagnes sont la source des fleuves et des nuages. Mais qui sait si ces dieux de la montagne étaient seulement le produit de l'imagination humaine ? [...]

    Ma vision du mystère des lignes de Nazca exige un décalage important de paradigme - l'identification d'une culture préhistorique et mondiale avancée, désignée par certains en tant que "Atlantes" et par d'autres sous le nom de "Dieux de chair et de sang". Toutes les études scientifiques précédentes de Nazca l'ont traitée comme un phénomène local, mais si nous étudions les lignes en tant qu'élément intégré dans une configuration de préhistoire mondiale, comme nous l'avons fait, une réponse plausible émerge.

     

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    Les divers indices qui jalonnent le monde incitent à penser que la technologie aéronautique existait dans les périodes antiques. Ces indices se composent des enregistrements textuels, des traditions orales et de preuves physiques. Ainsi, à Baalbek au Liban, une plate-forme énorme en pierre corrobore la montée et la descente de fusées, histoire mentionnée dans "l'épopée de Gilgamesh" et dans les légendes du dieu Hélios (Dieu du Soleil) qui aurait garé son chariot ici. En attendant au Pérou, le fait que les lignes de Nazca puissent seulement être correctement appréciées de l'air est également un indice puissant quant à l'existence de l'aéronautique antique. A présent, je voudrais éclaircir deux choses, tout d'abord, je ne dis pas que les lignes de Nazca ont représenté un terrain d'aviation ; ensuite, je dis qu'elles indiquent fortement qu'une technologie aéronautique était nécessaire pour les observer. Ceci pourrait sembler être une idée fantaisiste s'il n'y avait pas d'autres aspects de technologie élevée qui peuvent être vus partout sur les sites pré-incas du Pérou.

    Quel était alors le but des lignes de Nazca ? Ont-elles été créées de la terre ou de l'air ? Qui étaient les "Dieux de chair et sang" ou les "élevés" qui auraient survolé les terres ? Et comment s'adaptaient-ils dans la préhistoire mondiale ? Mais concentrons-nous sur quelques faits fondamentaux. La plaine de Nazca est pratiquement la seule à posséder une telle capacité de préservation des inscriptions, et ce, en raison de la combinaison du climat (un des plus sec de la terre, avec seulement vingt minutes de précipitations par an) et une terre plate et pierreuse qui réduit au minimum l'effet du vent au niveau du sol. Sans la poussière ou le sable pour couvrir la plaine, et peu de pluie ou de vent pour l'éroder, les lignes tracées ici tendent à se conserver. Ces facteurs, combinés avec l'existence d'un sous-sol de couleur plus claire sous la croûte de désert, fournissent une vaste possibilité d'écriture qui ont idéalement convenu à l'artiste qui a voulu laisser sa marque pour l'éternité.

    Qui était l'artiste de Nazca ? Ma recherche suggère une connexion avec Viracocha, seigneur de Tiahuanacu, qui est également connu sous le nom de "Dieu de l'Orage". Le symbole du trident de ce dieu apparaît à une faible distance au nord de Nazca, chez les Paracas. Selon ma théorie, ce dieu serait l'artiste initial de Nazca. Il aurait utiliser un appareil dirigeant un faisceau de découpage dans la plaine désertique.

    Une autre question, pourquoi alors la plaine de Nazca se compose-t-elle d'un tel désordre de figures, de lignes et de larges bandes semblant n'atteindre aucun objectif artistique ? Selon moi, la réponse se trouve à Tiahuanacu en Bolivie. Un mystérieux site qui aurait connu la production du bronze quelques 6.000 ans en arrière. Un des nombreux sites dans le monde où l'on trouve des pierres pesant une centaine tonne qui ont été découpé et adapté si précisément entre elles que l'on ne peut insérer dans les interstices une lame de couteau.

    Ma recherche suggère que le travail difficile sur le site de Tiahuanacu ait été délégué à un groupe d'esclaves négroïdes. Lorsque l'ère de Tiahuanacu a décliné vers 2200 av. J.-C., certains de ces esclaves se sont rebellés. Un groupe d'entre eux aurait saisi l'antenne appartenant à Viracocha et servant à exécuter ces dessins et aurait défiguré la plaine de Nazca dans un acte de vandalisme. Par endroits ils ont imprimé de larges bandes qui ont peut-être effacé les dessins que Viracocha lui-même avaient dessiné plus tôt. Dans d'autres endroits, ils ont dessiné des images conçues pour railler et insulter leur maître. Certains des rebelles ont dessiné des images impressionnantes, d'autres ont pris les commandes et ont pu seulement dessiner des dessins d'amateur. Lorsque Viracocha a vu les ravages faits sur la plaine et la vandalisation de son propre dessin, il a pleuré. Ce qui aurait soutenu la légende de Tiahuanacan comme un "Dieu pleurant".

    Des études ont confirmé que la période la plus ancienne de Nazca était en effet la plus avancée. Ma théorie explique pourquoi plusieurs des lignes convergent vers des montagnes, puisque c'est une tendance humaine normale de piloter un avion vers un point de référence sur l'horizon. Il explique également pourquoi les lignes se croisent parfois parfaitement dans de profonds ravins - une tâche pratiquement impossible sans avion. En conclusion, et d'une manière primordiale, ma théorie explique tous les dispositifs chez Nazca - les lignes et les dessins, la distribution aléatoire de schémas, les configurations superposantes et la qualité variable des schémas. Aucune autre théorie n'a émergé de 50 ans d'étude pour expliquer tout que nous voyons chez Nazca aujourd'hui.

     

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  • I. DÉFINITION :

    En allemand, le terme Poltergeist signifie " bruit de fantôme ". En effet, les expériences de Poltergeist sont souvent bruyantes cependant leurs sources ne sont pas des entités fantomatiques. La cause des phénomènes de Poltergeist est la plus part du temps due à une personne et quelques fois à un groupe de personnes. Les études depuis 1950 semblent démontrer que l’agent impliqué dans une situation de Poltergeist est souvent impliquée dans une situation psychophysiologique instable.

     

     

    II. ÉTUDES DE CAS :

    Benjamin B. Wolman a recensé 116 cas de phénomènes de type Poltergeist. L’étude qu’il a faite de ces cas lui à permis d’en dégager certaines caractéristiques. Le choix de ces cas reposent sur quatre critères :

     

    Il s’agit de cas publiés depuis 1850 dans des revues professionnelles

    L’auteur se devait d’être présent

    L’auteur doit être une personne crédible

    Les cas doivent impliquer des incidences physiques.

     

     

    Principales observations dégagées par Wolman :

    Les cas les plus nombreux ont été recensés aux USA (31) et 26 cas en Angleterre. Les anglo-saxons auraient-ils des pouvoirs P.K. plus élevés que la moyenne???

    Dans 25 de ces cas, les témoins présents étaient des membres d’organisation de recherche en place.

    Dans 19 autres cas, les policiers figurent comme principaux témoins.

    56 cas sont attribués à des femmes

    36 cas à des hommes

    La moyenne d’âge chez les femmes est de 15 ans

    La moyenne d’âge chez les hommes est de 17 ans

    32 cas impliquent des apparitions

    6 cas impliquent des voix.

     

     

    CAS DE SILVIA GIARDI :

    À Sienne, en Italie, en 1928, une jeune fille de 15 ans semble provoquer des chutes de pierres près d’un monument funéraire. On avait même fait installer autour du monument un cordon de police.

     

     

    CAS DE VIRGINIA CAMPBELL :

    En Ecosse, en novembre 1960, Virginia Cambell une jeune adolescente de 11 ans, devant huit témoins semble être la cause de coups provenant de la tête de son lit. Les témoins assisteront même au déplacement d’une lourde commode, dans la chambre de la jeune fille.

     

     

    CAS DE JULIO :

    Un jeune commis de 19 ans, dans un entrepôt de Miami ( Janvier 1967) semble responsable de la chute d’objets placés sur des tablettes. Wolman sera témoin de scènes d’objets se déplaçant qui tombaient des tablettes.

     

     

    CAS DE SIGMUND ADAM en Novembre 1967 :

    Un avocat allemand à Rosenheim, témoin de nombreux phénomènes au niveau de l’éclairage : les fusibles qui sautent, les ampoules et tubes de néons qui éclatent, les conversations téléphoniques sont interrompues. Les phénomènes semblent relié à une jeune secrétaire de 18 ans : Anne Marie Schneider. Le professeur Hans Bender de l’université de Freibourg , enquêteur chevronné en matière de Poltergeist pris en charge la situation. Deux physiciens installent un voltmètre pour prendre des mesures. L’instrument enregistrera des variations intenses de courant au moment même de la manifestation de bruits et d’étincelles . De plus on pouvait noter le mouvement de certains lustres et de certains tableaux accrochés aux murs.

     

     

    III. CARACTÉRISTIQUES DES PHÉNOMÈNES :

    Déplacement des objets dans des directions inattendues; parfois, les objets peuvent traverser des cloisons, des murs, des toits sans endommager les surfaces. Le phénomène est parfois accompagné de baisse de température pouvant aller jusqu'à 10 degrés. Les objets peuvent dégager une certaine chaleur pouvant aller jusqu’à la brûlure. On a vu très peu de cas ou les témoins ont été victimes de blessures de la part des objets. Les phénomènes peuvent durer d’une heure à dix ans. Il semble que la distance soit un facteur important au niveau du déplacement des objets. Bases psychophysiques et énergétiques. Champ psi semblable à un maëlstrom

     

     

    IV. POLTERGEIST ET SANTÉ MENTALE :

    Sur les 116 cas répertoriés par Wolman, 49 semblent avoir des désordres importants au niveau de la personnalité. Crises d’épilepsie, désordres de personnalité, périodes dissociatives ... Il est à noté que la majorité des agents responsables n’ont pas encore atteint l’âge adulte. L’adolescence avec ses moments de crises et sa plus grande vulnérabilité semble être un moment propice pour les phénomènes RSPK. Des événements stressants, des problèmes familiaux peuvent être à l’origine du déclenchement de la RSPK. Wolman répertorie 38 cas ou l’on retrouve des problèmes familiaux. Le Poltergeist serait une activation inconsciente d’une charge agressive symbolisée. Expressions extra-somatiques.


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